@techreport{c80b7d64162445099f21c6190d8d7bf9,
title = "Capital social et sant{\'e} : quelles relations pour les r{\'e}sidents du Luxembourg ?",
abstract = "Ce texte analyse les relations entre le capital social et la sant{\'e} au niveau individuel au Luxembourg. Cette analyse porte principalement sur le concept de capital social comme d{\'e}terminant social de la sant{\'e} et se fonde sur une hypoth{\`e}se implicite bas{\'e}e sur l'existence d'incidence positive du capital social sur la sant{\'e}. Les donn{\'e}es proviennent des enqu{\^e}tes PSELL3/EU-SILC r{\'e}alis{\'e}es en 2003 et en 2007 par le CEPS/INSTEAD et elles concernent les personnes {\^a}g{\'e}es de 16 ans et plus dans les m{\'e}nages priv{\'e}s du pays. Les proc{\'e}dures math{\'e}matiques utilis{\'e}es sont d'une part la distribution statistique de certaines variables d'int{\'e}r{\^e}t, d'autre part la mod{\'e}lisation logistique. Les r{\'e}sultats confirment l'existence de relations positives entre le capital social et l'{\'e}tat de sant{\'e} g{\'e}n{\'e}ral. Ainsi, une perception n{\'e}gative de l'{\'e}tat de sant{\'e} est le plus souvent associ{\'e}e aux personnes ayant un faible degr{\'e} de capital social parmi les indicateurs suivants : l'engagement social, l'isolement social et le soutien social. Le r{\'e}sultat est similaire lorsque l'on utilise un indice de capital social construit {\`a} partir de quatre indicateurs. En d{\'e}finitive, les personnes ayant un indice faible ont pr{\`e}s de quatre fois plus de chances de s'estimer en moyen ou mauvais {\'e}tat de sant{\'e} plut{\^o}t qu'en bon {\'e}tat de sant{\'e} par rapport {\`a} celles qui ont un indice {\'e}lev{\'e}.",
keywords = "Capital social, Luxembourg, sant{\'e}, {\'e}tat de sant{\'e}",
author = "Anastase Tchicaya and Nathalie Lorentz",
year = "2011",
language = "Fran{\c c}ais",
series = "Working Papers",
publisher = "CEPS/INSTEAD",
number = "2011-46",
type = "WorkingPaper",
institution = "CEPS/INSTEAD",
}